Pourquoi les gays ont besoin d’un daddy (10:09)
Le daddy gay a été employé à toutes les sauces et tellement qu’il est un peu galvaudé. Certains labels paresseux résument le daddy à un homme simplement mûr. La chose prend parfois des proportions délirantes : on se met maintenant à dire que certains modèles sont des daddies quand ils ont à peine 30 ans !
À quoi reconnait-on un vrai daddy et qu’est-ce qui en fait le charme ? La réponse se trouve dans cette vidéo du studio Nasty Daddy. Mec vers la fin de la quarantaine, mais puissant. Son autorité est naturelle. Il est un homme d’expérience, alpha et il se pose en initiateur et dominateur. Son partenaire est un grand gars, mais il n’y peut rien : il s’agenouille docilement et vient prendre sa leçon. Quand on s’excite sur un daddy, on s’excite sur une image d’homme qui a de l’assurance, qui n’a plus rien à prouver, qui n’a pas peur d’aimer la baise, qui met à l’aise et pousse à se dépasser.
Ici vu que ça vient de chez Nasty Daddy, celui qui veut qu’on l’appelle Papa est assez bourrin. Ça ne le rend que plus superbe, impressionnant et tout puissant. Pourquoi a-t-on parfois besoin d’un daddy quand on s’adonne à la passivité ? Simplement, car avec ses mains fermes et son passé présumé lubrique, il nous pousse à nous lâcher, à nous mettre dans la peau d’un fiston obéissant qui s’abandonne et redécouvre le lâcher-prise. Et ça fait toujours du bien.
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