Si Emma Bovary avait rencontré un Daddy, elle serait devenue Lana Rhoades (14:15)
Le porno n’arrête pas de réécrire la vie de la sentimentale Emma Bovary. Encore et encore, les hommes derrière les productions s’échinent à transformer les gentilles filles en bête de sexe, affamée d’énormes chibres sur lesquels s’étouffer. Mais Bryan Gozzling, en incarnant un Daddy dans une version ultra dominante, ne fait que révéler aux Lana Rhoades, Emma du XIXe siècle, le plaisir de la soumission et le goût de la jouissance dégoulinante. À y regarder de près, tout est tourné vers l’expression des sens de la femme. Certes, une femme qui aime la soumission et les gorges profondes, mais qui apprécie aussi de découvrir la volupté du squirt et la sensualité du pilonnage en règle. Pas de suicide à la fin, Lana Rhoades rentre ravie et nous aussi.
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