Melissa Lauren participe au jeu de la bouteille (12:02)
Je n’ai jamais pu réaliser d’interview de Melissa Lauren, elle était pourtant censée m’en accorder une il y a 7 ans, aux balbutiements du Tag Parfait. Pourquoi ? Je ne le saurai probablement jamais et j’en ai fait mon deuil. Ce qui m’a toujours fasciné chez elle, outre sa versatilité capillaire, c’est sa propension à se donner corps et âme au nom de la performance. She just can’t get enough. Elles sont très peu nombreuses à jouer dans sa catégorie. Je ne vois même que la walkyrie Annette Schwarz pour égaler l’engagement de Melissa en termes de dévotion au rough sex. Les deux ont d’ailleurs quitté le circuit au fait de leur gloire, laissant orphelins des légions de fappeurs avertis.
La Charentaise – fierté locale – participe ici à un jeu de la bouteille un peu faussée dans la mesure où elle est la seule fille, entourée d’un échantillon représentatif de la population mâle yankee. 12 salopards qui viennent rappeler à Melissa ses études au lycée hôtelier via un glaçage en règle, à la mode japonaise suivi d’une dégustation. Une superbe occasion de recroiser son regard désarmant – l’éjac dans l’oeil comme un wink ensemencé à Annette – et d’apprécier son anglais quasi parfait quand nombre de ses compatriotes actrices n’arrivent même pas à balbutier trois mots dans la langue de Kendrick. Alors certes le disque est un peu rayé (« I love cum », « I’ll eat cum for breakfast », « I’m a cumswallowing whore », ad lib), mais l’effort est là, l’intensité aussi. Maintenant tu peux me dire pourquoi tu n’as jamais voulu me répondre Melissa ?
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