Le conte de la sorcière qui aimait la queue (10:29)
Au Brésil, l’Amazonie brûle. Vous en avez entendu parler ? Dans une autre partie du pays, des sorcières dans des forêts aux essences moins primaires cherchent la bite. On en parle encore moins. Maru Karv joue le mystère pour attirer le mâle intrigué dans sa bouche. Quelle sorte de sorcellerie est-ce ? Une bien douce, car j’imaginais une meurtre à la fin, une humiliation du gars, bref un vrai truc de sorcière. Elles ne sont pas tendres ces femmes-là. Elles vivent sans les hommes et usent de leurs connaissances intrigantes sur la nature et les choses indicibles pour se jouer d’eux, voire s’en débarrasser (ce que je ne peux vraiment condamner, plutôt même encourager).
Maru joue donc une witch romantique, fascinée par la queue des garçons et cette magique habilité qu’elles ont à se durcir sous l’effet du désir. Ses sœurs lui reprochent cette attirance contre nature, mais elle vit son plaisir comme elle l’entend. Elle fait ce qu’elle veut après tout, c’est une sorcière. Elle parcourt alors la forêt pour capturer quelque randonneurs bien membrés. Elle n’en demande pas plus (ce qui est une faiblesse de ce scénario déjà peu probable) et repart préparer des potions et comprendre le monde qui nous entoure sans l’héritage des savants orthodoxes.
Bon, OK, je voulais mettre un truc pour surfer sur la vague de Halloween, c’est octobre, les gens en parlent partout, mais c’est tout ce que j’ai trouvé. Ne m’en voulez pas, s’il vous plaît !
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