Marica Hase chez Baeb ou l’allégorie du sexe-acrobite (10:23)
De retour de la planète Baeb, je vous le jure, la réalité n’a pas la même saveur. Quand on passe du bon temps à s’échapper dans les méandres d’une telle boite de production, on en perd vite ses facultés cognitives. Toutes les nanas sont ouf, les mecs sont carrément pas mal même si leur apparition face caméra reste trop succincte et la manière de filmer renouvelle clairement le genre gonzo. Les plans sont tout aussi rapprochés, mais l’option lumière blanche n’est pas sans nous rappeler que nous sommes dans l’esthétique propre à notre ère : celui du cash, de la sublimation des corps et des filtres effets Polaroïds. Un petit tour dans la nenette de Marica Hase et on est reparti pour une nouvelle aventure !
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