Le cuckolding, le vrai avec Abbey Rain et Marcelo (12:42)
Avec Abbey Rain et l’équipe des Cum Eating Cuckolds, on vous emmène dans un monde fabuleux, celui de la domination des maris soumis et du « forced bi ». Ouh ! le vilain mari pas beau et impuissant. On va lui faire reluire la grosse bite du bel éphèbe et l’exercer au rimjob, ce bonhomme ridicule avec son tizizi. Et à la fin, il va bouffer du sperme, mon salaud et s’il aime pas ça, on lui collera des claques.
Cela peut rebuter pas mal de monde, rapport à l’humiliation, au teub shaming et tout le reste. Mais, remettez les choses à plat, l’acteur qui joue le mari, déjà, il s’est marié à toutes les porn stars du milieu et pas les moins jolies, si on en croit sa filmographie. Il profite un max, dans tous les sens, il lèche sa meuf, il suce des bites, rien ne l’arrête et surtout il rimjobe à tous les étages. Au final, c’est lui qui prend le meilleur kif, faut y penser à ça, avant de s’offusquer. Son nom est Marcelo, retiens-le bien !
C’est quand on s’ennuie sévère et qu’on pense avoir fait plus ou moins le tour des perversions disponibles sur la toile, pourtant multiples et variées, qu’on tombe sur le truc qui vous scotche et vous colle des picotements bien agréables dans le bas du ventre.
Qui aurait cru que l’hétéro que je suis aurait kiffé / pris son pied à répétition !!! sur des scènes où un monsieur à la petite bite et à l’érection hésitante se fait humilier par une compagne avide de grosse verge turgescente montée sur un étalon musclé à la peau souvent brune et ambrée ?
Qui aurait mis un penny sur l’excitation que provoquerait chez moi le fait de voir monsieur se faire dominer aussi salement, sucer des orteils, glisser sa langue sur la rondelle palpitante de sa dulcinée pendant qu’un chibre démesuré écartèle sa petite chatte dégoulinante ?
Qui aurait osé insinuer que je puisse saliver devant une serpillère bedonnante avalant sur ordre le braquemard de son rival, ou vienne nettoyer des palanquées de foutre sur les cuisses, la chatte et la rondelle de madame, voire de se faire vider le contenu tiède et gluant d’une capote XXL dans la bouche et d’avaler ça comme un mort de soif ?
Personne !
Et pourtant, j’avoue avoir du mal à décoller de mon écran tant ces perversions rendent mon boxer trop petit.
Avec une telle érection, je pourrais sans peine tenter ma chance dans le rôle de l’étalon en rut. Mais au fond de moi, c’est l’autre rôle qui m’attire, me fait saliver et m’interroge…