Le bouli élu produit de l’année (7:33)
Si dans les années 1990-2000, les poitrines opulentes tenaient la dragée haute au reste des parties du corps féminin valorisées par l’esthétique occidentale, il est aujourd’hui acquis que le cul domine le game sans partage (et que je fais des phrases trop longues). Dans le porno ou en dehors, les grosses fesses ont pris toute la place. Plus besoin de big boobs, au contraire les petits seins s’accordent parfaitement avec les hanches larges et le fessier rebondi. Si en plus la souplesse de gymnaste russe est une de vos qualités, vous pourrez exceller dans des scènes comme celle de Kelsi Monroe, où la technique s’allie à la perversité pour satisfaire notre plaisir non coupable.
Aucun commentaire.