August Ames à la source d’un conflit mondial (8:00)
Les seins d’August Ames auraient pu déclenché un conflit mondial si je me prenais pour Homère et que j’écrivais sur Medium des épopées à l’ère numérique. Deux producteurs de porno se battraient pour son amour : l’un en Californie qu’on appellerait Kevin Moore (son actuel petit-ami, membre de la team Evil Angel), l’autre un producteur lambda de Budapest. Ce dernier l’aurait enlevée et la retiendrait contrainte dans un studio glauque, genre Czech Fantasy. Vous savez, cette prod où seules les parties inférieures des actrices dépassent des murs.
Moore et sa clique débarqueraient avec l’appui des drones d’Obama aux portes de Budapest et une coalition du porno de l’Est se formerait pour contrer les Yankees. S’ensuivrait une bataille majeure sans réel vainqueur. Poutine chevauchant un ours rentrerait lui aussi en guerre, chevauchant un ours. La 3e guerre mondiale aurait lieu sur les rives du Danube et enflammerait l’Europe et le monde. Le porno jap viendrait s’en mêler avec son armée d’actrices timides aux énormes poitrines et son contingent de pénis floutés qui balanceraient l’arme ultime : le bukkake nucléaire. Tout ça pour l’amour des seins d’August Ames.
Tout va bien, Ames ne déclenche pas de guerre, fort heureusement. August ne déclenche que des salves de chaleur estivale dans les sous-vêtements et c’est déjà pas mal.
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