Tous les garçons ont besoin d’un Valentin (06:30)
Les yeux en amande, une petite barbe bien taillée, un corps absolument parfait qui est le fruit d’années à pratiquer la danse : Valentin Braun est le nouvel hipster du porno gay, le modèle arty qui monte qui monte et qui me la fait monter au passage. J’ignore si c’est un pseudo ou un hommage à la marque de rasoir, mais dès que je vois son petit nom, je clique et je fais sauter la braguette.
Valentin, je l’ai découvert sur Instagram où, sous le pseudo Auberginediaries, il partage ses nombreuses collaborations avec la crème des photographes gays underground. Le mec est super hypé, il a été l’égérie du seul représentant encore en exercice de la Nouvelle Vague du porno gay, Noel Alejandro, a participé à des ballets et a même tourné dans deux clips de Goldfrapp : pas mal mon gars ! Performer, Valentin a, de ses propres dires, mis longtemps à être à l’aise avec son corps et maintenant il l’assume et le partage.
On n’est pas surpris de le voir en action chez Cockyboys, le label gay mainstream le plus quali. Valentin y donne ici ses fesses au jeune et bruyant Ken Summers. Deux modèles très différents (le côté artiste barbu taiseux pour Valentin, le stéréotype du minet chaud de la bite et qui en fait des caisses pour Ken – rien que le prénom…). Deux écoles, deux façons de se la mettre et ça tombe bien, car si Ken commence par pilonner notre hipster en prenant soin de discrètement sniffer et embrasser ses panards, Valentin va finir par le retourner. Et lui apprendre par la même occasion que les coups les plus simples sont parfois les meilleurs…
L’avantage avec un danseur comme Mister Braun, c’est que bien évidemment la souplesse ça le connait. Ne reste plus qu’à guider ou se laisser guider, entrer dans la danse et se perdre dans son regard intense, qui vous fixe pendant que vous vous enfoncez en lui ou qu’il vous rend gentiment la pareille. On le savait déjà en le stalkant sur Insta, mais cette vidéo le confirme : notre beau barbu a un des plus appétissants boules de l’univers. Ma teub lui réserve une standing ovation à chaque coup.
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