Maya Grand à crédit (11:32)
Je ne cautionne techniquement pas le fait qu’on puisse qualifier une fille de « nerd » sous prétexte qu’on lui a glissée une paire de grosse lunette sur le nez et un pull en maille autour du cou. Mais grâce au pouvoir de l’imagination (et de Maya Grand) en ce lundi 28 mars, j’ai fermé les yeux, teub à la main, en l’écoutant conter sa petite histoire armée de sa voix innocente. Ni une ni deux, la moitié du travail était déjà fait, malgré le kitsch ambiant de la mise en scène.
« Quand on n’a pas d’imagination, mourir c’est peu de choses. Quand on en a, mourir c’est trop » arguait Céline dans Voyage au bout de la nuit. Je suis, sans hésiter, de ceux pour qui la mort est quelque chose de terrifiant.
Aucun commentaire.