Le studio Dogfart, aussi vieux qu’Internet, régale toujours autant (12:16)
Les usagers d’Urban Dictionary ne sont pas vraiment d’accord sur la signification de Dogfart, ce prout de chien associé à la fois aux gang bangs impliquant des Afro-Américains et à d’éventuels pets de fouffe qui y seraient associés. Ce dont nous sommes sûrs reste qu’il s’agit d’une prod X vieille comme Internet (crée en 1996) qui n’a jamais renié son amour de l' »interracial » et que le public des fappeurs plébiscite toujours.
Cependant, les scènes se sont diversifiées, pour ne pas lasser des sempiternels Blacks on Blondes qui ont ravi les trentenaires d’aujourd’hui quand ils étaient dans leur vingtaine. Dogfart a renversé un peu le schéma et ajouté un soupçon de scénario. Si nous occultons le caractère raciste des deux jeunes femmes noires (Anya Ivy, Jezabel Vessir) qui s’introduisent par effraction chez Riley Reid, il reste une scène intense où le #rimjob est profond et le #strapon vigoureux.
En bonux, les coulisses.
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