De la difficulté du POV bien fait (10:07)
L’art du POV se manie avec difficulté. On en voit un peu partout : du mainstream aux productions amateurs, tout le monde se filme la caméra sur la tête. Une bonne branche de ce qu’on appelle « POV féminin » se développe aussi. Enfin, on voit qui se tient au bout de ce pénis ! Or, chez POVD, l’innovation ne semble pas encore arrivée à bon port.
La vidéo commence tranquillement avec une petite séance loin d’être désagréable, on se retrouve vite face au boule stratosphérique de Jill Kassidy. La fellation est pratiquée à merveille. Rien à dire jusque-là. Et voilà que la séquence « cunni » commence. On se dit : cool, on va pouvoir essayer de ressentir au plus près les sensations d’un fabuleux pussy-licking. Et c’est là où les problèmes commencent.
Sachez qu’il n’y a pas que des hommes hétérosexuels qui regardent du porno. Moi aussi j’aimerais avoir la vision de l’actrice, celle qui me fait tant saliver, celle où l’on voit la tête de son partenaire entre ses jambes, celle où on peut lui tenir les cheveux pour faire monter la température. À la place de cela, on se retrouve en face à face avec la vision stricte de l’homme qui donne la gâterie. Autant dire qu’on a vu plus folichon. Par contre, quand il s’agit de voir la seconde séquence de la fellation, la caméra se retrouve de nouveau perchée sur la tête de l’acteur. C’est vrai que voir un bas du ventre en gros plan et en aller-retour, y’a quand même plus excitant…
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