Alina Lopez is waiting for tonight (10:23)
Parmi les trucs qui me rendent grognon, il y a l’absence de crédit des performeuses sur les sites pornos et sur les tubes. Désormais, la grande majorité des productions font l’effort de mettre le nom des filles. La moindre des choses. Ensuite, j’ai souvent gueulé parce que le nom des gars, réduits bien souvent à leur teub, n’était pas disponible. Désormais, on trouve ces infos, mais il y a du chemin à parcourir encore. Maintenant, j’aimerais gueuler pour qu’on puisse savoir qui a dirigé la scène qu’on regarde.
Dans cette vidéo d’Exotic4K (on pourra aussi parler du racisme sous-jacent quand il est question de sites « ethniques »), le style de la réalisation me rappelle l’âge d’or du gonzo à la Jules Jordan et Evil Angel. Les intros au bord de la piscine où la modèle danse sensuellement, twerke et nous aguiche. Quand j’ai commencé au Tag, je voulais écrire un article à ce propos, sur le début, quand les sexes dressés et les vulves ouvertes n’apparaissaient pas encore. Avec Alina Lopez, on retrouve cette dynamique, je suis certain qu’il s’agit d’un réal de cette époque.
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