Yasmine De Leon ouvre la cabine de la gloire (11:26)
Petit à petit, le studio Dogfart s’est fait une place dans mon historique. Si au début, ce nom qui évoque une flatulence de canidé m’a laissé de marbre, c’était sans doute pour mieux que je l’apprivoise. À force de visiter ses gloryholes, mon coeur a cédé et il s’est épris d’amour pour ce studio majoritairement basé sur des fantasmes interraciaux, mais qui développe toujours une atmosphère spéciale. C’est crade sans être glauque, c’est brut sans être cheap, ça suinte sans que ça dégouline. Je ne connais pas les raisons de cette alchimie, mais elle fonctionne (presque) à chaque fois. Cuckold, glory ou blow-bang, l’authenticité qui s’en dégage me parle jusqu’à l’orgasme.
Yasmine de Leon (curieux blaze, dit on « de léon » ou « de leone » ?) est entrée dans la cabine, elle a cédé aux tentations, j’ai lâché prise, c’était rapide et dur comme cette teub traversée d’une grosse veine chargée d’un sang palpitant sous Viagra.
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