Sur la pente glissante du solo, le porno doux est malsain (19:34)
Je ne sais pas vous, mais le pire quand on mate beaucoup de porno, c’est lorsqu’on en revient au solo. Que ces corps nues et sans partenaire vous excitent dans leur plus simple expression trahit quelque chose de profond. Je vous laisse sonder votre for et vous me ferez un rapport. Je traverse cette période, accro à la vue. Pas besoin de pissing, de crachats humiliants, des triples pénétrations et de fisting violent, ce serait normal pour un fap agréable. Il suffit juste d’une femme, belle, avec ce sourire complice et si lumineux. Je prends alors la route du désir, conduite automatique enclenchée sur ma Tesla érectile. Je me sens bien, la vie parcourt mon corps et je vibre avec l’univers. Il y a quelque chose de malsain dans ce besoin de sobriété, plus de branlette éthylique. Les fantasmes redeviennent naïfs, la rigidité se dépouille, l’afflux frugal se dresse dans la modestie. Est-ce encore du porno ?
Bea York travaille la discipline du solo avec une belle rigueur et une tendance admirable à se stimuler l’anus. Découverte par hasard, elle n’est pas débutante pour autant. Avec ses 284 vidéos postées en deux ans sur le tube, Bea ne rigole pas avec le métier. Elle enchaîne les contenus pour satisfaire une clientèle toujours plus enthousiaste et nombreuse, prête à lâcher l’oseille sur Manyvids ou son site officiel.
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