Summer Hart, ton cul, c’est mon génie (07:07)
Tel le Jean Pierre Marielle du fap, je me retrouve subjugué face au boule de Summer Hart. Sept minutes à contempler la nature, celle d’un peintre de génie qui aurait peint ce cul si doux. « Ton cul, c’est mon génie » disait-il dans les Galettes de Pont-Aven caressant des belles pastèques posées devant lui, passives et offertes à son regard. Je fais pareil. Je contemple, j’admire, je me laisse dominer par cette beauté magnétique. Il n’y a rien si ce n’est lui, même pas de masturbation, juste la fracassante réalité qui nous submerge et nous laisse sans voix.
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