Strap-on atomique et black porn culture (13:58)
Il y a un avant et un après-Pulko. Mais si, rappelez-vous, ce rappeur fringuant au blaze citronné qui chantait « Du lourd! Du-du-du lourd! / C’est moi qui prend le mike / C’est toi qui ferme ta gueule / C’est, c’est qui? C’est, c’est qui?« . Etrangement, c’est cet air entêtant et grivois qui me vient en tête quand je visionne cet épique strap-on des familles, énorme à l’instar d’une citrouille bien remplie. Deux paires de fesses grosses comme la lune (de quoi faire rêver Jipé Marielle), un dynamisme dans le mouvement qui fait tourner les boules des actrices et la tête du fappeur, du BIG ASS ou BIG BLACK BOOTY qui renvoie les maigrelettes #petites à leurs assiettes de carottes râpées et l’élégance lesbian d’usage au placard des pruderies.
Si Filth Freak s’est spécialisé dans la « black orgy », Pinky demeure une figure indispensable du black porn, l’anaconda sûr. Du fap dur, bien lourd donc, qui, il est vrai, n’égale pas dans ses excès tonitruants la subtilité fessière de l’inestimable booty-girl, oui, toi même tu sais, celle que l’on appelle…Abella Danger.
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