Screw Box, le tourne-vice cruciforme du porno (12:09)
La communication de Screw Box sur les réseaux sociaux annonçait cette nouvelle prod comme un grand tournant. Évidemment, les gars n’allaient pas se vendre comme un truc basique qui n’allait que peu nous intéresser. Le travail sur l’image et la mise en scène étaient les principales promesses. Pari tenu ? On va voir.
Je suis allé voir sur leur chaîne Xhamster ce qu’il en était. Bourreau du fap, j’abats les branlettes comme les rudes bûcherons du Québec les divers types de résineux qui peuplent leurs immenses forêts. À la chaîne. J’ai choisi Riley Reid, histoire de ne pas être déçu. Elle est toujours fraîche et sympathique.
L’intro est dans l’esprit Elegant Angel, en slow mo sur musique douce, où la fille nous fait profiter de ses formes dans un jeu délicat (mais ça peut être surjoué) de séduction. Introduction de la bite de manière naturelle. Il m’a fait penser à Ben Affleck, je ne sais pas pourquoi. Certainement parce qu’il est interchangeable. Ensuite, ça baise comme partout ailleurs. Riley donne du sien et se marre, ce qui me plaît bien.
Nous avons donc une nouvelle production qui semble avoir juste remis les moyens en termes de cinématographie sur le tapis, malgré la baisse des revenus de l’industrie. Mais bon, ce n’est pas la claque que Greg Lansky nous avait mise en son temps.
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