Personne ne résiste au Power Bottom français (21:13)
Plusieurs fois, alors que je voyageais en Europe, je me suis entendu dire une chose curieuse : « tous les Français sont passifs, de bons passifs ! » Alors heureusement ça n’est pas vrai, sinon on serait bien embêtés, mais j’avoue que ça m’a interpellé. On aurait donc la réputation d’être très doués pour recevoir. Est-ce parce qu’à travers le porno gay on retrouve dans les productions françaises d’excellents modèles ? Peut-être.
Menoboy est sans l’ombre d’un doute l’un des studios qui a le mieux rendu justice à la beauté de ses passifs. Et dans ses dernières années, le label a notamment fait briller l’adorable et redoutable Tim Loux. Un vrai power bottom de compétition qui rend marteau ses partenaires actifs. Avec sa petite gueule de minet, il a le physique d’un jeune héros de Cadinot. Mais on voit aussi dans son regard de l’insolence et de la provocation. Il n’a pas son pareil pour passer du froid au chaud, de la docilité à l’autorité.
Le voici en bonne compagnie avec un Byron Cohen chaud du zgeg. Le mâle veut se la jouer en mode big boss qui fait pomper à genoux, mais petit à petit il est dépassé par la gourmandise de Tim qui l’amène à ne plus savoir sur quel pied danser. Tim gémit, Tim se donne, se soumet et puis d’un coup il sourit, montre qu’il est fier de sa bouche et qu’il ne lâche rien. Et quand il reçoit dans ses fesses, il commence en s’asseyant sur le manche et en le maniant à sa guise. Même quand il est à 4 pattes, Tim gère la cadence, provoque, donne des indications pour que le rythme soit à son goût. Avec un si beau visage et des fesses aussi délicieuses, difficile de ne pas faire tout ce qu’il nous dit et de lui donner tout ce qu’il veut. Vive la France !
Merveilleux, delicieux et très espiegle Tim Loux ! Aussi vorace oralement qu’analement, dote d’une sorte de centrale nucléaire entre ses admirables collines jumelles, personne mieux que lui ne sait aussi bien aimanter vers son charmant minois et sa sublimissime callipygie
une multitude de phallus gorges comme des cactus – sans epines – qui ne l’epuisent ni ne le rassasient jamais tant il en est insatiable. Ce feu inextinguible qui brule en sa bouche et entre ses fesses, comme il brule tout autant dans les genitoires de ses innombrables admirateurs, meriterait la fondation d’un « fan – club » devoue au delicieux enchantement que ce faune prodigieux suscite. Ce « Pan » sait jouer de nos flutes en virtuose, Il en est autant l’inepuisable serviteur que l’incomparable maitre. Puissent les myriades d’erections dont son corps est la cible decupler son plaisir et, par là – même, bander l’arc de nos desirs !