La thérapie psychocorporelle d’Angela White (6:15)
Drôle de psychothérapie. Jay Taylor (enfin son personnage Erin) a des soucis avec son corps, celui des autres, avec l’intimité et le sexe. Angela White (enfin son personnage Daniella) va lui proposer une méthode cavalière pour remédier à ça. Pas sûr que l’ordre des psychothérapeutes (ou l’ordre des médecins, c’est qui qui chapeaute ?) n’est donné son aval. Elle risque fort de se voir retirer son droit d’exercer.
Pour une fois dans Pure Taboo, le plaisir ne naît pas de la contrainte. Au contraire, il s’éveille avec gourmandise quand Erin voit Daniella se faire baiser. La psy décrit ce que son assistant lui prodigue. Le pouvoir des mots, l’humidité des dessous. Comme Erin, on se laisse porter et on laisse glisser nos doigts. La puissance érotique est indéniable, pour un porno : c’est un exploit. Même si l’image ne cache rien, la suggestion est intense. Encore une fois, Bree Mills et son équipe exécute un merveilleux travail ; le but même du X, nous retourner le cerveau et nous chauffer les sens. La double pénétration était-elle vraiment nécessaire ? Je trouve ça un peu rapide, mais la version longue doit être plus nuancée.
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