Krissy Lynn, c’est ma burrata à moi (14:05)
J’ai passé une partie du week-end avec Krissy Lynn, c’était excellent. De cette escapade virtuelle, j’en garde des souvenirs durables de ses seins, de sa manière de faire monter la pression en remuant ses reins et de la façon dont elle a d’être plus excitante habillée, qu’entièrement à poil.
Les esprits chafouins remarqueront que c’est toujours la même scène avec elle et que c’est toujours tourné dans le même hôtel moche. Je leur répondrai ceci : c’est pas parce que c’est la 150e burrata que tu manges qu’elle en devient moins bonne. A méditer, comme on dit dans Internet.
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