Hommage au Sonnet du trou du cul (27:45)
J’aime regarder Copain du Web, ses vidéos, ses live sur Twitch, le garçon me fait rire. Ils sont rares à me convenir, Copain est l’élu. Mon Néo barbu et cagoulé. Je visionnais donc une soirée blason et héraldique et à un moment il est allé lire le Sonnet du trou du cul, le poème pastiche d’Arthur Rimbaud. Copain analyse avec sa commu chaque vers et le verdict tombe, il s’agit bien d’un anal creampie en rimes embrassées. Les voici, ces belles rimes :
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte câline,
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
Je n’ai pas trouvé de compilation d’anal creampie pour rendre hommage à l’humour de Rimbaud, à sa flûte câline, à la céleste praline et à cet amour de la sodomie qui anime nombre d’entre nous. Alors, je me penche sur Eva Veil (le nouveau nom de YeeesYeeesYeees). Attendez la fin pour assister au spectacle d’un beau jet de larmes de lait. Perso, j’ai l’olive bien pâmée.
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