Pipe à l’uni grâce à Snapchat
Ce récit a gagné le concours d’histoires érotiques organisé par Le Tag Parfait et Chuchote-moi dans la catégorie Snapchat. Si vous voulez nous proposer vos récits, n’hésitez pas à nous contacter par mail : hello@letagparfait.com.
Encore un lundi matin au temps maussade. Je me traine à la bibliothèque de l’uni sans trop de motivation, mais je dois absolument rattraper quelques lectures si je ne veux pas y passer toutes les vacances ! Avant même d’avoir déballé mes bouquins, mon esprit se déconcentre déjà à la vue des quelques beaux gosses que je croise devant la bibliothèque.
Je trouve une place discrète, au bout d’une infinie rangée de livre. Je m’installe, mets mon portable sous silence et sors mes bouquins. Plus motivé par les inscriptions qui habillent le vieux bureau en bois auquel je suis assis que par mon article scientifique, il ne m’a pas fallu plus de 5 minutes pour tomber sur une gravure qui semblait assez récente :
« Qui me suce ? 06…… »
Direct, je sens ma bite réagir. J’imagine le petit mec qui a dû bosser à cette place ce weekend. Lui aussi il devait être bien chaud et avoir envie de se vider les couilles. Rien que d’être assis sur la même chaise tendait à m’exciter. Il avait dû bien bander, dans son petit jeans skinny et devait être assez sûr de lui pour balancer son 06 ! Je l’imaginais tendu, espérant que quelqu’un vienne le sucer sous ce bureau.
J’exerçais des petites pressions sur mon entrejambe, mais j’en voulais plus…
J’ai enregistré le numéro, l’ai connecté à Snapchat et lui ai envoyé la photo de son tag. A peine 1 minute plus tard, je reçois une photo en retour. C’est la photo d’une main qui empoigne un entrejambe. La main est fine et légèrement bronzée, on dirait qu’il se ronge un peu les ongles. Il porte un jeans clair. Mon excitation monte encore d’un cran. J’ai trop envie de lui faire sauter les boutons de sa braguette.
Je prends et reprends alors à multiples reprises un selfie à lui envoyer en réponse. Je veux être explicite sans trop me griller non plus… Je zoome sur ma bouche, ouvrant les lèvres et sortant un peu la langue. Clic ! Le cliché parfait : on ne peut pas me reconnaitre, mais on ne peut pas rater que je suis bien chaud.
Je reçois alors une photo de son bureau de bibliothèque. Il doit être étudiant en sciences sociales au vu des bouquins que je peux voir. Et je ne m’étais pas trompé, le mec a l’air grave excitant. Il porte un jeans qui moule des cuisses musclées de sportif et des Stan Smith blanches.
La photo s’efface et j’en reçois une autre. Je reconnais le 3ème étage de la bibliothèque. Puis une autre et encore une autre, jusqu’à ce que je reconnaisse la porte des toilettes handicapés du 3ème étage. C’est un rencard !
Je bande comme un taureau. Je place ma teub tendue le long de mes abdos, histoire de rester discret. Je laisse mes affaires en plan et me dirige l’air de rien vers le 3ème étage. Je n’y vais presque jamais. D’abord parce qu’il y a très peu de places de travail, ensuite parce qu’il y a peu d’ouvrages à consulter.
J’arrive enfin devant la porte qui est légèrement entre-ouverte, mon cœur bat la chamade.
Je pousse la porte et tombe sur une vision de rêve. Mon étudiant inconnu est en train de pisser, debout, me tournant le dos. Il doit mesurer 1m85. Son dos forme un V, moulé dans un T-shirt blanc qui épouse ses formes parfaites. J’entends son jet de pisse qui tombe par saccades viriles dans la cuvette, puis l’élastique de son boxer claquer sur ses abdos. Il se retourne doucement. Son jeans est toujours ouvert. La main sur son boxer blanc, il malaxe à travers sa tige encore molle.
Il doit être en 1ère année, parce que je ne l’avais encore jamais vu. C’est vraiment le modèle type du beau brun : la peau légèrement mate, un sourire Colgate, une coupe à la mode et une barbe de trois jours.
Il pue le sexe et j’ai grave envie de lui, mais je reste scotché par son regard ténébreux qui me domine. Il s’approche de moi, me prend par la nuque et me roule direct une grosse pelle. Je ne peux m’empêcher d’émettre un petit soupir de contentement. Il me bouffait la bouche en enfonçant sa langue dans ma cavité buccale. Il embrassait comme un dieu. Il variait le rythme, me faisait des petits bisous sur les lèvres, je sentais sa barbe m’effleurer les lèvres et les joues. Il me pelotait fermement le cul de sa main gauche quand il m’intima d’une pression sur la nuque de me mettre à genoux pour mieux le servir.
Il se recula légèrement et fit passer son t-shirt derrière sa tête. Il avait un torse sublime de ses pecs sculptés jusqu’à ses abdos dessinés.
Je me suis jeté dessus et ai léché sa ligne de poils tout en massant la forme épaisse qui déformait son boxer. Je sentais le contact avec sa queue à travers le tissu. Elle était déjà tendue, mais était encore souple. Elle devait faire dans les 20 centimètres. Je frottais mon visage dessus et m’enivrais de cette odeur de mec viril. J’avais aussi ouvert mon jeans et branlais mon sexe tendu à travers mon boxer.
Il m’a alors pris par les cheveux, a fait jaillir cette queue de son boxer et m’a doucement bifflé. Je le regardais soumis comme pour le supplier de me la donner. Bouche ouverte, je tendais la langue et il me mimait en passant doucement son gros gland sur mes lèvres.
« Tu la veux ma grosse teub, hein ? » dit-il avant de me l’enfoncer jusqu’à la garde.
Il s’est ensuite contenté de m’encourager en chuchotant pendant que je m’activais pour son plaisir. J’alternai des mouvements plus lents ou plus rapides en fonction de ses râles. J’alternai entre va-et-vient sur son prépuce et des gorges profondes baveuses. Entre deux, je ressortais sa queue mouillée que je branlais pendant que je lui donnais des gros coups de langue sur les couilles. Après 15 bonnes minutes de ce traitement, je sentis ses couilles se contracter. Son souffle était saccadé. Il sortit sa bite de ma bouche et me fit me relever. J’étais déçu qu’il ne crache pas en moi, mais il me roula de nouveau une de ces bonnes pelles avant de me jouir sur la queue. Il a envoyé 6 jets qui collaient à mes poils, et avaient trempé mon boxer. Je jouis aussi et relevai mon boxer plein de son jus.
« Ca t’fera un p’tit souvenir ! » me dit-il en me faisant un clin d’œil.
Aucun commentaire.