Estella Bathory sort de sa niche (9:13)
Il n’y a pas que Pornhub dans la vie. Il y a Adult Time aussi. Les gens de chez Gamma avec Bree Mills en tête de file pensent encore que le mainstream a de l’avenir. Ils ont raison, les vidéastes amateurs commencent à s’essouffler. Les couples déboulent pour toucher l’argent des pubs sur PH, mais ils se ressemblent tous et tournent les mêmes trucs. Ils deviennent peu à peu le nouveau mainstream, sans avoir eu le courage de pousser la liberté de création fantastique offerte par ce nouveau moyen de diffusion plus loin qu’une levrette dans une chambre mal décorée.
Les pros travaillent toujours, ils sont moins nombreux et gagnent moins qu’avant. C’est un fait. Mais avec Adult Time, qui se veut un vrai Netflix du cul, et diffusant des programmes originaux et d’autres provenant de collègues pornographes plus ou moins affiliés à Gamma, la sauce prend bien. Ils ont le courage de s’attaquer à des niches, de les rendre moins nichés, et belles, et excitantes pour un plus large public. On attend toujours ça de Greg Lansky qui n’a vraiment déniché que le tag interracial.
Estella Bathory grimpe dans la communauté porno. Elle traverse les genres avec fluidité, passant du rough sex sans fioritures chez Pascal White aux beaux-arts de Four Chambers sans problème. Elle a même sa chaîne sur Pornhub. Eh oui ! Il faut ce qu’il faut pour vivre quand on est sex worker.
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