Elsa Jean, mon obsession (49:12)
Tes yeux sont si profonds qu’en me penchant pour boire
J’ai vu tous les soleils y venir se mirer
S’y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j’y perds la mémoire
Ces quelques vers chantés par Jean Ferrat collent parfaitement à Elsa Jean, ma nouvelle obsession. Je ne peux que me rallier au panache du poète Aragon pour illustrer l’émotion qui m’étreint quand je vois la délicate Elsa en action. Si les désespérés se jettent dans ses yeux, les fappeurs se pâment pour ses petits seins et ses cheveux si blonds. Elsa, il lui manque une seule lettre pour que Gainsbourg lui écrive une chanson, une lettre qui me retient de perdre la raison.
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