Alice Coquine, le POV de mes nuits blanches (10:46)
La douce Alice se glisse dans mes rêves. Sans que je l’y invite, elle s’impose lourdement dans mon esprit. Je prie le ciel que ça s’arrête, car mes nuits sont mouvementées. Je me tortille, me roule d’un bout à l’autre des draps, je transpire et le matin j’ai des fourmillements dans mon caleçon.
Alice Coquine s’empare de moi quand les étoiles brillent. Je ferme les yeux et je la vois comme à l’écran. Le POV de mes nuits blanches, je me fais mon cinéma. Je rejoue la scène, une fois, dix fois, cent fois. Je rembobine la séquence. On sonne, ce n’est pas elle, c’est le réveil.
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