Abella Danger se tape The Irishman (13:12)
Incroyables les prouesses de la technologie de nos jours. Vous connaissez sans doute le de-aging, le rajeunissement numérique d’un personnage dans un film. Si vous avez vu The Irishman, le film Netflix de Martin Scorsese, vous avez pu vous espanter devant Robert de Niro, victime de ce procédé révolutionnaire. Il peut jouer l’Irlandais à plusieurs étapes de sa vie, de 30 à 80 ans, c’est époustouflant. Le spectateur n’y voit que du feu. Pourquoi s’embêter désormais à employer des acteurs jeunes, alors que l’expérience des années subira simplement quelques transformations par ordinateur pour un jeu bien meilleur. Au placard, les trentenaires qui se rêvent star de Hollywood !
Vous connaissez ce fantasme sur le porno qui fait croire à la fibre pionnière de cette industrie (qui n’en est pas une), ayant soi-disant favoriser l’adoption de la VHS ou encore son rôle supposé prédominant dans la VR, bref des sottises. Eh bien, je peux cependant affirmer que le de-aging fut embrassé et popularisé par le porno. Regardez cette scène entre Steve Holmes et Abella Danger.
Il est difficile de recruter de nouveaux performeurs. L’art d’avoir la trique sur commande, de guider sa partenaire, de la mettre en lumière, de jouer un peu la comédie ne s’improvise pas. Là encore l’expérience prime, la stamina (et les piquouses dans le zob) aussi. Bref, les studios préfèrent s’appuyer sur les valeurs sûres. C’est ainsi que Steve Holmes trouve encore du boulot.
Dans cette scène pour la référence Jules Jordan, Steve incarne un gamin de 25 ans. On n’y voit que du feu, c’est formidable. Grâce au de-aging, il passe pour un minot qui s’éprend d’une féroce Abella Danger. Dans son costume rouge, elle joue la mère Noël pour un Holmes ravi de pouvoir encore sodomiser des jeunes femmes de 24 ans. Merveille de la technologie, c’est vraiment très réussi.
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